L’Origine de Noël

Noël est connu comme une fête de réjouissance pour les chrétiens et les païens.

Noël est connu comme une fête de réjouissance pour les chrétiens et les païens. En fait, cette fête est dite pour se remémorer la naissance du Christ, mais la bible nous précise-t-elle le jour de la naissance de Christ? Non, alors pourquoi associons nous cette date au Christ? Derrière cette fête ne se rapporte pas au christianisme, mais plutôt du paganisme. Cette étude montrera la preuve du paganisme qui est caché.

Noël est un sujet très discuté surtout sur l’origine. Par exemple l’origine de l’utilisation du sapin, des noms des mages, du 25 décembre, des cadeaux, etc. Nous n’allons pas étaler sur tous les points de ce sujet. Cepandant nous regarderons seulement les points importants de cette fête païenne. Pour commencer, les trois mages qui se nomment Gaspard, Melchior et Balthazar, ne sont pas bibliques. À aucune place dans la bible, nous n’allons retrouver ces noms-là. L’Église catholique est à l’origine de cela. Origène, dans ses Homélies sur la Genèse, fixe leur nombre à trois en se basant sur les trois présents (or, encens, myrrhe) et en établissant une relation avec les trois personnages (Abimélek, Ahuzzat et Pikol) rendant visite à Isaac (GN 26,26-29). Les noms traditionnels de Gaspard, Melchior et Balthazar, apparaissent pour la première fois dans un manuscrit du VIe siècle, conservé à la Bibliothèque nationale de France à Paris et intitulé Excerpta Latina Barbarie. Ils y sont désignés sous les noms de Bithisarea, Melichior et Gathaspa. Vers la même époque, ils apparaissent dans un écrit apocryphe, l’Évangile arménien de l’Enfance, qui leur donne les noms de Balthazar, Melkon (Melchior) et Gaspard.

Nous pouvons donc nous dire que la bible ne fait que parler de mages (Matthieu 2:1,7,16), car il n’y a pas aussi de «roi mage», mais seulement de «mage» écrit dans la bible. Le 25 décembre remonte au Babylonien. Voici ce que rapporte Alexander Hislop : «longtemps avant le IVe siècle, et même bien avant l’ère chrétienne, les païens célébraient une fête à cette même époque de Tannée, en l’honneur de la naissance du fils de la reine Babylonienne; or on peut présumer que pour se concilier les païens, et augmenter le nombre de ceux qui adh raient de nom au christianisme, la même fête fut adoptée par l’Église Romaine qui se contenta de lui donner le nom de Christ. Cette tendance de la part des chrétiens à faire des concessions au paganisme se développa de bonne heure; et nous voyons Tertullien luimême, vers l’an 230, déplorer amèrement la faiblesse des chrétiens à cet égard, et l’opposer à la stricte fidélité des païens à leur propre superstition: « C’est nous, dit-il, nous qui sommes étrangers aux sabbats, aux nouvelles lunes, et aux fêtes, nous qui étions autrefois agréables à Dieu, c’est nous qui fréquentons maintenant les Saturnales, les fêtes du solstice d’hiver, les Matronales; on porte ça et là des présents, les cadeaux du nouvel an se font avec fracas, les jeux, les banquets se célèbrent! » avec des cris; oh! comme les païens sont plus fidèles à leur 140 religion; comme ils prennent soin de n’adopter aucune solennité chrétienne» — Les Deux Babylone, Alexandre Huslop, p.72.

Nimrod (Genèse 10:8-10 et 1 Chronique 1:10) est donc l’origine de tout, car la bible
l’appel le premier héros des hommes après le déluge qui enfanta avec sa mère Tammuz ou Dumuzid par les Babyloniens pour après arriver a Babylone avec Mithra que l’on adorait le 25 décembre en tuant les enfants le 25 décembre en son honneur. Mithra a été mis a l’honneur du Sol Invictus («Soleil invaincu») par les Romains et qui était donc fêté la même date. Le Sol Invictus est le Dieu principal des Romains d’où l’origine de l’adoration du dimanche. L’empereur Aurélien (270-275) lui assure une place officielle à Rome en proclamant que le Soleil invaincu est le patron principal de l’Empire romain et en faisant du 25 décembre une fête officielle appelée le «jour de naissance du Soleil» (du latin dies Natalis solide invicti). Nous pouvons déjà discerner ce qui viendra par la suite à Rome.

Un de ses successeurs, Constantin Ier, le premier empereur romain converti au christianisme fut au début de son règne adepte du Soleil invaincu, comme en témoignent ses émissions monétaires. Celui-ci a fait du dimanche (appelé à Rome «jour du soleil») un jour de repos en hommage au Sol Invictus par une loi du 7 mars 321. Il y avait donc plus de fêtes pour le 25 décembre! Ils ont donc dû trouver une fête pour remplacer cette date. Durant la christianisation de l’Empire romain, la célébration de la naissance de Jésus de Nazareth le 25 décembre par les chrétiens de Rome a progressivement remplacé le culte de Sol Invictus. L’édit de Thessalonique de 380 décrété par Théodose Ier interdit définitivement le culte de Sol Invictus faisant du 25 décembre une fête exclusivement chrétienne. Quand nous fêtons Noël, nous adorons un Dieu païen qui est contraire au commandement de Dieu.

Le cher monsieur habillé en rouge. Il doit bien y avoir une origine sur ce personnage mythique. Oui et une origine catholique, car ce personnage est le personnage récurrent aux publicités et au jour. Il serait lié à Saint-Nicolas, l’évêque grec de Myra, une ville romaine en Turquie. Saint-Nicolas a vécu aux troisième et quatrième siècles. Il a défendu le christianisme pendant que ses disciples étaient persécutés. Il a été emprisonné pendant de nombreuses années jusqu’à ce que Constantine arrive au pouvoir et fasse du christianisme la religion dominante de l’Empire romain. Deux histoires que l’on décrit comme étant des superstitions, nous amenée à lui donner le rôle de père Noël. L’une implique l’évêque Nicholas qui donne trois sacs d’or à un père pour sauver ses filles de la prostitution. L’autre implique trois garçons assassinés, démembrés et marinés par leur assassin, un aubergiste : Nicholas a prié Dieu et a ressuscité les trois garçons, selon l’histoire racontée par Beliefnet.

Saint-Nicolas est généralement lié à Odin, le souverain d’Asgard, l’un des principaux dieux de la mythologie germanique, décrit comme un homme à la barbe blanche et au pouvoir magique. Cependant, les liens entre Odin et le père Noël pourraient être plus prononcés. Le solstice d’hiver, également connu sous le nom de Yule, était une époque au cours de laquelle Odin dirigeait une partie de chasse, connue sous le nom de Wild Hunt, dans le ciel avec un cheval à huit pattes nommé Sleipnir. La poétique Edda, du XIIIe siècle, déclara que le cheval mythique pouvait franchir de grandes distances — un trait que possèdent les rennes. Les enfants laissaient leurs bottes près de la cheminée remplie de carottes et de foin pour nourrir Sleipnir. La légende raconte que, chaque fois que Odin passait, il laissait des cadeaux par leurs bottes, comme indiqué par About.com. Voici ce qui nous emmène de plus en plus vers une origine purement païenne. Ce personnage devrait être présenté avec son vrai visage. Nous pourrions. faire une étude seulement sur ce personnage et le comparer à Christ. Si vous regarder bien Satan a utiliser un homme et l’a rendu mythique, et comparable à notre Sauveur. Si vous désirez une étude plus approfondie du sujet, je vous conseille deux livres:

Alexander Hislop – Les Deux Babylones
Vance Ferrel – Chrismas, Easter and Halloween

C’est deux livres décrivent et démontre bien que cette fête est païenne et ne doit pas être pratiqué par un peuple qui désire suivre les pas de son Sauveur et maitre Jésus-Christ.

1 réflexion au sujet de “L’Origine de Noël”

  1. chantal bonneville

    C’est fou comment on se fait embobiner si on n’est pas à l’écoute et on ne fait pas de recherche et surtout si on ne saccroche pas a la bible où toute la vérité et la volonté de Dieu est noter.

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