Les Jésuites prêchent dans l’église adventiste

L’année passée, un prêtre jésuite du nom de Gregory Boyle est allé prêcher à l’université Walla Walla. Comme ce fut le cas en 2014 dans le mois du carême, Arnold Parungao a pu célébrer son service du carême dans une église adventiste.

L’année passée, un prêtre jésuite du nom de Gregory Boyle est allé prêcher à l’université Walla Walla. Comme ce fut le cas en 2014 dans le mois du carême, Arnold Parungao a pu célébrer son service du carême dans une église adventiste. Il faut savoir que les jésuites ont été créés pour contre-attaquer les protestantes qui ont protesté lorsque Martin Luther en 1517 a déclaré les 95 thèses.

« Dans toute la chrétienté, les protestants étaient entourés d’ennemis formidables. Les premiers triomphes de la Réforme passés, Rome rassemblait de nouvelles forces dans l’espoir de l’écraser. C’est alors que se fonda l’ordre des Jésuites, le défenseur de la papauté le moins scrupuleux, le plus puissant et le plus cruel. Affranchis de toute obligation et de tout intérêt humains, morts aux droits de l’affection naturelle, sourds à la voix de leur raison et de leur conscience, les Jésuites ne connaissaient d’autre liens et d’autres règles que ceux de leur ordre, ni d’autre devoir que celui d’en accroître la puissance. L’Evangile de Jésus-Christ donnait à ceux qui l’acceptaient la force d’affronter le danger, de supporter sans découragement la souffrance, le froid, la faim, la fatigue et la pauvreté. Il les rendait capables de prêcher la vérité sans craindre ni la roue, ni la prison, ni le bûcher. Pour les combattre, le jésuitisme inspira à ses disciples un fanatisme qui leur permettait d’affronter les mêmes dangers et d’opposer à la vérité toutes les armes de l’erreur. Pour arriver à leurs fins, il n’y avait pour eux ni crime trop hideux, ni duplicité trop basse, ni stratagème trop audacieux. Ayant fait vœu de pauvreté et d’humilité perpétuelles, ils ne recherchaient la fortune et le pouvoir que pour les faire servir à la suppression du protestantisme et au rétablissement de la suprématie papale. » – TS, p.249.

Ellen White décrit très bien ce qu’est l’ordre des Jésuites en réalité. Le libéralisme religieux a permis que tous soient confondus, la première bête, la deuxième bête et la femme au-dessus de la lune. Dans l’histoire adventiste il y eut plusieurs rencontres avec le pape, plusieurs infiltrations jésuites et plusieurs invitations offertes au jésuite de prêcher dans nos églises, car depuis que nous avons signé le BEM (Baptism, Eucharist and Ministry) toute religion chrétienne ayant signé peuvent prêcher dans notre église en toute liberté. Maintenant nous allons démontrer les preuves que cela c’est réaliste. En 1977, la Conférence générale des adventistes du septième jour a présenté un médaillon d’or au pape Paul VI, exprimant ainsi notre étroite amitié avec les États papaux. Celui qui s’occupait de cette liaison œcuménique avec les autres dénominations depuis au moins 1965 (auparavant avec Arthur Maxwell), quand il est devenu membre d’un comité du Conseil œcuménique des Églises. Celui qui a présenté le médaillon d’or au pape est Bert Beverly beach.

Cela fut le résultat de plusieurs choses qui se passèrent plus tôt dans l’histoire dans l’adventisme. Vers 1950, il y eut deux pasteurs qui changèrent plusieurs livres dans notre dénomination, à cause des nouvelles doctrines qui furent introduites. Principalement celle qui cause le plus de problèmes doctrinaux aujourd’hui encore, celle de la Trinité. Nos pionniers, comme ce ministère indépendant, ne prennent pas part aux 28 croyances fondamentales de 2015, mais à celle de 1889 qui en contenait aussi 28. Les deux pasteurs en questions qui changea le livre Daniel et l’Apocalypse, History of the Sabbath and First Day of the Week, qui brûla les hymnes de 1904 (Hymns and Tunes et Christ in songs), qui brûla son manuscrit de Christ et sa justice (ce dernier est le livre de Ellet J. Waggoner que Leroy Froom voulait rééditer), car il voulait enlever les parties qui niait la doctrine de la Trinité, et qui produisit le livre controverse Evangéliser. Leroy Froom, un pasteur, prêtre catholique et un franc-maçonnique, et Roy Allan Anderson, un  pasteur, prêtre catholique et un musicien, sont ceux qui ont débuté la genèse de l’apostasie adventiste d’aujourd’hui. Ces affirmations jésuites ont été dites par June Rieck. (Voici son témoignage : https://www.youtube.com/watch?v=EdQ7JPDf4n8).

Un témoin fiable anciennement jésuite, Alberto Rivera, a affirmé dans un de ses livres que les adventistes «ont cessé de parler contre Rome, ou bien reconnaissaient que le système catholique est une église chrétienne. » (p.26). Il affirma aussi que Samuele Bacchiocchi était un jésuite. Ce dernier eut son doctorat à l’université pontificale grégorienne. Les quatre pasteurs nommés plus haut sont les personnes principales de l’apostasie d’aujourd’hui et du fait que nous nous faisons appeler la deuxième église catholique. Ce n’est pas pour rien que nous
envoyons un pourcentage de nos dîmes à l’Église catholique.

Ce même témoin expliquer le symbole IHS des jésuites (le symbole de la première page). Voici ce qu’il dit : « Les lettres inscrites sur l’hostie catholique sont les mêmes que sur celle des Égyptiens I-H-S, et représentent La Trinité Égyptienne Isis, Horus et Seb. L’Église romaine a appliqué cela aux trois lettres du nom de “Jesus” en grec. […] Les catholiques prennent cet autre Jesus en forme de soleil […]. (p.76). La forme du symbole des Jésuites est un soleil et ne représente totalement pas ce que les adorateurs de cette secte prétendent dire.

Maintenant plusieurs catholiques prêchent dans nos églises, par exemple Francis X. Ford et Louis J. Luzbatek l’ont pus le faire en 2008. Même qu’une personne du nom de BT Rice qui était pasteur le sabbat et prêtre le dimanche et rend allégeance au pape en l’appelant « le Saint-Père ». Comment une église disant que la bête est l’Église catholique peut accepter cela ? L’adventiste devrait changer son message ? Ted Wilson a dit a 3ABN, que la marque de la bête est n’importe lequel jour autre que le Sabbat, car le sceau de Dieu est l’amour de Dieu et le sabbat. C’est deux points sont très flou et générale il n’a pas préciser quel jour ni quel est vraiment le sceau de Dieu, car il y a énormément de gens qui respecte le sabbat et ont l’amour de Dieu. Le sceau de Dieu est quelque chose de bien particulier et plus pousser que cela. Il faut vouloir la sanctification et surtout vouloir atteindre la perfection de caractere. La conférence Generale et les pasteurs en générale adoucie la compréhension des prophéties, car l’adventisme est libéralisme maintenant. Il est non seulement libéralisme, mais la conférence générale envoie de l’argent a l’Église catholique et s’allie pour toute sorte de raison.

Ellen White dit à plusieurs reprises que le rapprochement avec l’Église catholique est de l’apostasie. Depuis le Vatican II, l’Église catholique est devenue libéralisme pour encore mieux arriver à leur but final, le nouvel ordre mondial.

Aujourd’hui il ne fait pas que prêcher ou s’infiltre, mais il enseigne dans nos églises. Un pasteur du nom de Vance Ferrell (pasteur sorti de l’église), prévient par écrit que les formations théologiques adventistes sont maintenant dirigées par les jésuites et enseigne le spiritisme tout comme le fondateur jésuite Ignace de Loyola.

Le même fondateur des jésuites, Ignace de Loyola, est l’homme même qui a établi la formation spirituelle. Alberto Rivera en dit plus à ce sujet : « Loyola développait ses exercices spirituels, pour atteindre la perfection spirituelle. Par la méditation systématique, la priere, l’introspection, la sorcellerie et l’illumination, Loyola tombait en extase. On le voyait meme planer au-dessus du plancher. » (p.74).

L’enseignement jésuite ne peut être séparé du mysticisme. Comme prophétisé : « L’ennemi des âmes a cherché à introduire la supposition selon laquelle une grande réforme doit avoir lieu parmi les adventistes du septième jour : cette réforme devrait consister à renoncer aux doctrines qui constituent les piliers de notre foi et entreprendre un travail de réorganisation. Si une telle réforme avait lieu, qu’est-ce qui s’ensuivrait ? Les principes de vérité que Dieu dans sa sagesse a donnés à l’Église du reste seraient rejetés. Notre religion subirait un changement. Les principes fondamentaux qui ont soutenu l’œuvre pendant les cinquante dernières années seraient tenus pour autant d’erreurs. Une nouvelle organisation serait établie. Des livres d’un ordre différent seraient écrits. On introduirait un système de philosophie intellectuelle. Les fondateurs de ce système se rendraient dans les villes pour y accomplir une œuvre magnifique. Il va sans dire que le sabbat serait peu respecté, tout comme le Dieu qui l’a établi. Ce nouveau mouvement ne tolérerait aucune opposition. Ses chefs enseigneraient que la vertu est préférable au vice, mais du moment que Dieu eu serait écarté, on ne dépendrait plus que de la force humaine qui est impuissante sans Dieu. On construirait sur le sable, et tout l’édifice s’écroulerait à la première tempête. » – Messages Choisis 1, p.238-239.

Nous devons nous détacher de ce système adventiste qui devient Babylone de plus en plus, car ils boivent le vin de Jezabel.

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