L’adventisme et l’avortement

Nous pourrions dire « tel père, tel fils » quand il s’agit de Neal et Ted Wilson au sujet de l'avortement.

 

Nous pourrions dire « tel père, tel fils » quand il s’agit de Neal et Ted Wilson, car ils sont au milieu des plus grands changements doctrinaux de l’histoire adventiste. Neal C. Wilson permit l’introduction de la doctrine de la Trinité en tant que croyance fondamentale (lapremière jusqu’a la quatrième). Il fut celui qui dit : « il existe une autre organisation universelle et véritablement catholique, l’Église adventiste du septième jour. » (Neal C. Wilson, General Conference President of the Seventh-day Adventist Church, in Adventist Review, March 5, 1981, p. 3.) Il fut celui qui dit aussi : «Bien qu’il soit vrai qu’il y ait eu une période dans la vie de l’Église adventiste du septième jour où la confession a adopté un point de vue nettement anti-catholique romain […] cette attitude de la part de l’Église n’était rien de plus qu’une manifestation d’anti-paupérisme généralisé parmi les dénominations protestantes conservatrices au début du présent siècle et dans la dernière moitié du passé, et qui a été maintenant jetée aux oubliettes historiques pour autant que l’Église adventiste du septième jour est concernée. » (Neal C. Wilson, past president of the Seventh-day Adventist General Conference, Court Transcript of United States vs the Seventh-day Adventist Church, Equal Employment Opportunity Commission vs the Pacific Press Publishing Association and the General Conference, Reply Brief for Defendants, p. 4, Civil Case #74–2025 CBR, presided over by Judge Charles B. Renfrew, U.S. District Court, San Francisco, California, 1974–1975.) Nous pourrions dire que de telles choses sont abominables venant de la part du président de l’église adventiste.

Son fils suit ce que son père a fait presque 40 ans plus tard en rabaissant l’esprit de prophétie sous la bible (2015 – changement pour l’esprit de prophétie), en 2018 le comité rend le pouvoir au président encore plus grand par un vote, plus toutes les associations mondaines et les dons de dîme a d’autres religions.

Quand est-il de la position sur l’avortement? La position est-elle la même que celle des pionniers ou est-elle différente ? John Todd, en 1867, a écrit dans un article : « Le meurtre délibéré d’un être humain à n’importe quel stade de son existence est un meurtre. » (John Todd, Advent Review and Sabbath Herald, June 25, 1867, p. 30.) Deux années plus tard, un autre article fut écrit a ce sujet : «L’un des péchés les plus choquants et pourtant les plus répandus de cette génération est le meurtre d’enfants à naître. Laissez ceux qui pensent qu’il s’agit d’un petit péché lire Psaume 139 : 16. Ils verront que même l’enfant à naître est écrit dans le livre de Dieu. Et ils peuvent être assurés que Dieu ne passera pas inaperçu du meurtre de tels enfants. » (Advent Review at Sabbath Herald, 30 November 1869, p. 184.)

James White a extrait une déclaration du Dr E. P. Miller’s Exhausted Vitality pour l’inclure dans le livre. La citation qu’il a utilisée reflète les sentiments forts des médecins impliqués dans la croisade contre l’avortement. Miller a fustigé l’avortement comme étant une « activité néfaste », une  «pratique pire que diabolique » et un  «péché terrible ». Il a poursuivi en disant : «Beaucoup de femmes dissuadent les mines qu’elles ne deviendront pas mères et  se soumettent au traitement le plus vil, commettant le crime le plus infâme pour accomplir leur dessein. Et beaucoup d’hommes, qui ont autant d’enfants qu’ils peuvent élever, au lieu de restreindre leurs passions, aident à la destruction des enfants qu’ils ont engendrés. Le péché est à la porte des deux parents dans la même  mesure. » (E. P. Miller, quoted in James White, A Solemn Appeal [Battle Creek, Mich. : Steam Press, 1870], p. 100.)

Plus tard en 1896, Kellogg écrivit dans son livre Man, the Masterpiece, publié en 1894, le Dr John Harvey Kellogg s’oppose à l’idée  que l’avortement soit autorisé avant l’accélération. « Dès le moment de la  conception, ces processus ont été mis en  œuvre et ont abouti à la production d’un être humain pleinement développé à partir d’une simple goutte de gelée, d’une cellule  minuscule. Dès que ce développement commence, un nouvel être humain a vu le jour — l’embryon, c’est vrai, mais il possède sa propre individualité, avec son propre avenir. […] À partir de ce moment, il acquiert le droit à la vie, un droit si sacré que dans chaque pays le violer, c’est encourir la peine de mort. […] Dieu seul connaît toute l’étendue de ce crime odieux. » (J. H. Kellogg, M.D., Man, the Masterpiece [Battle Creek, Mich. : Modern Medicine Publishing Company, 1894], pp. 424, 425.)

Voici ce qu’était la position sur l’avortement au 19e siècle. La société même avait cette mentalité dans les années 1960 : «un avortement tue la vie d’un bébé après le début. Il est dangereux pour votre vie et votre santé. » (John Powell, Abortion : The Silent Holocaust [Alien, tex : Argus Communications, 1981], p.92.)

Au début des années 1970 avec la pression de la mentalité libéralisent de plus en plus d’hôpitaux adventistes permis l’avortement. Neal C. Wilson prit la parole après quelques années sans avoir une position claire sur l’avortement : «Bien que nous franchissions la barrière, les adventistes se tournent vers l’avortement plutôt que contre l’avortement. Parce que nous réalisons que nous sommes confrontés à de gros problèmes de faim et de surpopulation, nous ne nous opposons pas à la planification familiale et aux efforts appropriés pour contrôler la population. » (Religious News Service, 17 mars 1970, p. 16, 17.) Il a aussi dit cette affirmation : « Si nos hôpitaux de SDA ne fournissent pas d’avortements aux femmes, ils iront tout simplement à l’hôpital le plus proche, alors nous pouvons tout aussi bien offrir le service aux femmes et garder l’entreprise. » (Tammy Roesch, Neal Wilson on Abortion.) En 1992 le père et fils on

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