Alors que la dette nationale américaine s’élève actuellement à 32 000 milliards de dollars, les mondialistes des Nations Unies et du Forum économique mondial utilisent l’hystérie du changement climatique pour détruire complètement nos économies en préparation de la nouvelle solution marxiste connue sous le nom de Grande Réinitialisation, dans laquelle nous ne posséderons plus rien [1]. Selon les élitistes mondiaux, la solution pour résoudre la crise climatique est que les gouvernements, qui sont déjà endettés, empruntent encore plus d’argent (27 000 milliards de dollars) et le distribuent ensuite. Ce qui suit a été rapporté par France 24, la chaîne de télévision d’information internationale appartenant à l’État :
« Un groupe d’experts indépendants, spécialisés dans le financement du climat et travaillant sous les auspices des Nations Unies, a estimé l’année dernière que le monde devait allouer 1 000 milliards de dollars par an d’ici 2030 pour que les pays en développement, outre la Chine, puissent répondre à la crise du climat et de la biodiversité. Oxfam estime que 27 000 milliards de dollars devront être mobilisés pour “lutter contre la pauvreté, les inégalités et le changement climatique dans les pays en développement” d’ici à 2030, soit environ 3 900 milliards de dollars par an. La Banque mondiale va encore plus loin, en indiquant dans son plan d’action climatique 2021 que 4 000 milliards de dollars par an seront nécessaires d’ici à 2030 pour construire des infrastructures répondant aux besoins des pays en développement ». [2]
On nous dit que pour résoudre la crise climatique, nos économies mondiales devront assumer un fardeau financier important en transférant essentiellement la richesse du monde. Une fois de plus, ces révolutionnaires marxistes tentent de perturber complètement nos vies, comme ils l’ont fait lors de la pandémie de Covid. Cette nouvelle tâche implique l’élimination des combustibles fossiles, la transition vers des sources d’énergie renouvelables, le développement de nouvelles méthodes agricoles, de nouveaux systèmes de transport, de nouvelles infrastructures, de nouvelles technologies, de nouvelles pratiques commerciales, de nouvelles normes environnementales et l’octroi de milliers de milliards de dollars aux pays en développement.
L’Accord de Paris, adopté en 2015 et entré en vigueur en 2016, représente un effort international important pour adopter ces mêmes mesures. L’encyclique du pape François, Laudato Si‘, appelle à une action urgente pour résoudre ces mêmes problèmes climatiques. La seule différence est que le pape François ne se contente pas d’aborder l’aspect social et économique de l’environnement ; il offre également une perspective morale et spirituelle en affirmant que la lutte contre le changement climatique est une responsabilité donnée par Dieu. [3]
Cet appel mondial résonne au-delà des frontières religieuses, culturelles et nationales, alors que les responsables d’églises, les décideurs politiques, les scientifiques et les militants écologistes se joignent à la lutte contre le changement climatique. La coopération internationale et l’action collective rassemblent les gens et le monde travaille ensemble pour sauver la planète. Une conversion écologique exige des changements radicaux dans nos vies, y compris des changements personnels, sociétaux, religieux et politiques et la perte de toutes nos économies.
Pourquoi les calamités ne s’arrêtent pas
Notre monde sera-t-il épargné par d’autres catastrophes naturelles une fois que nos économies auront complètement changé, que nous aurons atteint la neutralité carbone à 100 %, que la marque de la bête aura été apposée, que les richesses du monde auront été redistribuées et que la grande majorité des gens vivront comme des esclaves ? N’y aura-t-il plus de tremblements de terre, d’inondations ou d’ouragans dévastateurs ? Absolument pas ! En fait, les pays sous-développés reçoivent des milliards de dollars des pays développés depuis des décennies, et rien ne change.
L’augmentation des catastrophes naturelles et humaines dans les derniers jours est due au fait qu’il s’agit des signes de la fin, signalant que Jésus reviendra une fois de plus. C’est une chose que nous, les adventistes du septième jour, avons oubliée. C’est la transgression, et non le CO2, qui est la véritable cause des phénomènes météorologiques destructeurs.
« J’ai reçu l’ordre d’annoncer que les cités remplies de péchés et dont la culpabilité a atteint son niveau le plus élevé seront détruites par des tremblements de terre, par le feu et l’eau. Le monde entier sera averti de l’existence de Dieu et de son autorité. Ses agents invisibles provoqueront des destructions, des catastrophes et la mort. Toutes les richesses accumulées seront réduites à néant. » (Évangéliser, p.31).
« Les malheurs les plus sinistres, les plus inattendus, et des calamités se succéderont les uns après les autres. Si l’on prête attention aux avertissements donnés par Dieu, si les églises se repentent et renouvellent leur allégeance, certaines villes seront épargnées pendant quelque temps encore. Mais si les hommes qui ont été trompés persistent à marcher dans les mêmes voies, s’ils méprisent la loi de Dieu et enseignent de fausses doctrines, Dieu permettra qu’ils souffrent de la calamité, afin de les ramener à la raison. » (Évangéliser, p.31).
Non seulement il existe une explication divine à la situation chaotique de notre monde, mais, plus important encore, nous avons reçu un message spécial à partager alors même que la situation continue de se détériorer :
« Il y a partout des hommes qui devraient être engagés activement dans le ministère, afin de prêcher le dernier message d’avertissement destiné à un monde déchu. L’œuvre qui aurait dû être menée avec énergie en faveur des âmes n’a pas été accomplie. Les habitants des villes sans Dieu, sur lesquelles s’abattront bientôt des calamités, ont été terriblement négligés. Le temps est proche où les grandes villes seront rayées de la carte et tous doivent être avertis de l’arrivée de ces châtiments. Mais qui s’engage de tout cœur dans le service que Dieu réclame ? » (Ibid., p. 33).
[1] https://www.forbes.com/sites/worldeconomicforum/2016/11/10/shopping-i-cant-really-remember-what-that-is-or-how-differently-well-live-in-2030/
[2] https://www.france24.com/en/environment/20230621-paris-summit-aims-to-overhaul-global-financial-system-for-more-climate-solidarity-with-south
[3] https://www.vaticannews.va/en/pope/news/2023-06/pope-blue-green-festival-climate-change-world-environment-day.html