Le pape parle, les États-Unis et Cuba obéissent

« Qui est semblable à la bête, et qui pourra combattre contre elle ? » (Ap. 13:4)

Apocalypse 13:4 reflète la crainte et la peur que les gens éprouveront à l’égard de la puissance de la bête de la prophétie. Il souligne la domination de la bête dans les domaines politique et spirituel et met l’accent sur la perception que personne ne peut s’opposer à elle, ce qui inspire la soumission et l’adoration de ceux qui sont sous son influence. Au lieu d’honorer Dieu comme il est dit dans Exode 15:11, « Qui est comme toi, parmi les dieux, ô Éternel? », les nations détourneront leur adoration et leur allégeance à la bête en déclarant : « Qui est semblable à la bête, et qui pourra combattre contre elle ? ». (Apocalypse 13:4).

Le pape François exerce une influence politique remarquable parce que le monde le considère comme une autorité morale universelle. Dans une démonstration historique de l’influence diplomatique mondiale de Rome, le pape François met fin, à lui seul, à des décennies d’hostilité entre les États-Unis et Cuba. En s’adressant directement aux dirigeants des deux nations, le pape François a appelé à la réconciliation et à une nouvelle voie. Dès que le pape a publié son décret, les États-Unis et Cuba l’ont adopté.

Vatican News a publié ce qui suit le 15 janvier 2025 :

« Cuba a annoncé qu’elle allait libérer de prison 553 personnes condamnées pour divers crimes. La décision a été communiquée au pape François au début du mois dans une lettre du président cubain Miguel Díaz-Canel.

« Un communiqué du ministère cubain des Affaires étrangères note que la libération des prisonniers a lieu dans le contexte des “relations étroites et fluides avec l’État du Vatican”. 

« La déclaration de Cuba fait suite à l’annonce par la Maison Blanche que le président Joe Biden a notifié au Congrès son intention de lever la désignation de Cuba comme État soutenant le terrorisme, dans le cadre d’un accord facilité par l’Église. 

« La déclaration de Cuba de mardi indique que le pays entretient « une relation respectueuse, franche et constructive avec le Vatican et le Souverain Pontife, ce qui facilite des décisions telles que celle qui a été prise récemment. » (https://www.vaticannews.va/en/world/news/2025-01/cuba-to-release-prisoners-in-the-spirit-of-the-jubilee.html)

Non seulement Cuba libère des prisonniers, ce qui est pratiquement inédit, mais les États-Unis ont levé la désignation de Cuba comme État soutenant le terrorisme (cela changea sous Trump depuis le 20 janvier). La pétition du pape a conduit à ces deux changements significatifs dans la politique du gouvernement. En d’autres termes, lorsque le pape parle, le monde l’écoute. Cette percée diplomatique sans précédent montre que le pape a la capacité unique de transcender les divisions politiques, incitant même des adversaires de longue date à rechercher une voie de réconciliation en accord avec sa vision du monde.

Selon la prophétie biblique, la première bête d’Apocalypse 13 représente Rome et sera une entité puissante qui exercera une immense autorité sur le monde. Elle collaborera également avec la deuxième bête, ou les États-Unis, pour commander la loyauté et la soumission à son influence. Le problème est que le monde sera entraîné, par la contrainte, dans l’adoration de la bête, sans se rendre compte qu’il s’aligne sur une puissance qui s’oppose à la vérité de Dieu.

La parole de Dieu avertit les croyants de rester fermes et de faire preuve de discernement, reconnaissant que sa vérité prévaudra, même si la bête semble invincible aujourd’hui. Dieu fera proclamer dans ces derniers jours un message qui appellera les gens à rester fidèles au Christ, à sa vérité et à sa mission :

« Et un troisième ange les suivit, en disant d’une voix forte: Si quelqu’un adore la bête et son image, et s’il en prend la marque au front, ou à la main, Il boira aussi du vin de la colère de Dieu, du vin pur préparé dans la coupe de sa colère, et il sera tourmenté dans le feu et le soufre, en présence des saints anges et de l’Agneau. » (Ap. 14:9, 10)