Le journal communautaire de l’université de Brown affirme que le sabbat doit être respecté même s’il incommode les autres

Le 31 mars 2025, le Brown Daily Herald, le journal de la communauté de l’Ivy League Brown University à Providence (Rhode Island), a publié un article dans lequel il demandait que le repos du sabbat soit « imposé » et précisait qu’il devait être « communautaire », ce qui signifie qu’un jour de repos devait être imposé par la force à tous les membres de la communauté. C’est, en théorie, l’essence même et la signification d’une loi sur le dimanche. Le journal communautaire de l’université a renforcé l’application du sabbat en affirmant qu’il fallait faire des sacrifices même si cela dérangeait d’autres personnes.

Le Brown Daily Herald a exprimé ce qui suit :

« Le dimanche après-midi, j’allais à l’église avec mes amis et je passais le reste de la journée avec eux à jouer aux cartes et à faire des boulettes.

« Observer le jour du sabbat est l’un des dix commandements. Cependant, d’après mon expérience, c’est le seul commandement que les chrétiens, moi y compris, ne font même pas l’effort de respecter. Nous vivons dans une culture qui privilégie l’agitation et dévalorise le repos.

« Le but du sabbat n’est pas d’améliorer la productivité, mais de l’éviter.

« Le sabbat doit être appliqué, et il doit être communautaire. Le repos forcé peut sembler un oxymore, mais tout comme l’exercice ou l’étude, le repos est quelque chose qui doit être fait régulièrement, même quand ce n’est pas pratique. Inscrivez-le dans votre calendrier Google. Un jour de repos de 24 heures est idéal – mon sabbat va de midi le samedi à midi le dimanche – mais si vous ne pouvez pas le faire, prenez 12 heures. Prenez trois heures. Comme tout engagement, le sabbat implique des sacrifices. » (https://www.browndailyherald.com/article/2025/04/tao-27-the-sabbath-is-for-everyone)

L’application d’un faux jour de repos par le biais d’une législation civile foulera aux pieds les droits de la conscience, obligeant chacun à se conformer à un faux système de culte sous la menace de sanctions économiques et sociales. C’est la définition même de la marque de la bête. C’est ce vers quoi de nombreux acteurs de la société tentent de nous conduire. Ceux qui, fidèles à Dieu, sanctifient le sabbat, le septième jour, par opposition au dimanche, seront persécutés, car le pouvoir étatique impose des lois religieuses qui contredisent le commandement divin.

Le vrai culte ne peut jamais être imposé par la loi, et le sabbat du Seigneur est un signe entre lui et son peuple, un repos sacré qui découle de l’amour et de la conviction, et non de la coercition. L’État peut exiger une conformité extérieure, mais l’obéissance authentique à Dieu ne peut venir que par l’action du Saint-Esprit dans le cœur, jamais par la force d’une loi humaine.

Nous vivons vraiment à une époque où les déclarations inspirées suivantes se déroulent sous nos yeux :

« La fausse religion sera exaltée. Le premier jour de la semaine, jour de travail courant, sans aucune sainteté, sera érigé comme l’image à Babylone. Toutes les nations, toutes les langues et tous les peuples recevront l’ordre d’adorer ce faux sabbat [le dimanche]. C’est le plan de Satan pour rendre inutile le jour institué par Dieu et donné au monde comme mémorial de la création. » (Bible Commentary, Vol. 7, p.976)

« Le mémorial de Dieu, le sabbat du septième jour, signe de son œuvre dans la création du monde, a été remplacé par l’homme du péché. Le peuple de Dieu a une tâche spéciale à accomplir pour réparer la brèche qui a été faite dans sa loi ; et plus nous approchons de la fin, plus cette tâche devient urgente. Tous ceux qui aiment Dieu montreront qu’ils portent son signe en observant ses commandements. » (Testimonies, Vol. 6, p.265)

 

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