Un responsable de Disney a déclaré, lors d’une conférence virtuelle sur l’initiative « Reimagine Tomorrow » de la société, qu’ils allaient travailler avec leur équipe d’avantages sociaux pour aider les employés et leurs enfants à obtenir des « procédures d’affirmation du genre » [1].
https://twitter.com/realchrisrufo/status/1512151268873146376?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E1512151268873146376%7Ctwgr%5E%7Ctwcon%5Es1_&ref_url=https%3A%2F%2Fthenationaldesk.com%2Fnews%2Famericas-news-now%2Fdisney-plans-to-help-its-employees-their-children-obtain-gender-affirming-procedures-reimagine-tomorrow-trans-transgender-lgbtq-gay
Qu’est-ce qui est concerné dans ce processus d’affirmation du genre ? Christopher Rufo, membre senior de l’Institut Manhattan et collaborateur de la rédaction du City Journal, a rapporté des exemples que Disney aimerait soutenir :
- bloqueurs de puberté
- l’ablation des seins
- la chirurgie de réaffectation génitale
- etc.
Disney est depuis les dernières années en train de faire un lavage de cerveau auprès des jeunes pour leur montrer le nouveau standard du genre.
Avec tous ces nouveaux standards de genre qui inclut asexué, Aromantique, Cisidentité, Demisexualité, non-binarité, Asexualité grise, Intersectionnalité, Neutrois, panromantique, pansexuelle.
Tous ses noms sont de nouveau genre. Homme et femme est devenu quelque chose de caduc et des termes conservateurs.
Rappellez-vous d’un article d’un pays en Amérique latine qui voulait retirer le terme « homme » et « femme » pour mettre en place un terme neutre. Toutes les églises y compris adventiste étaient en accord avec cela. Disney travaille d’arrache-pied pour mettre en place leur nouvelle idéologie du genre. Nous pourrions prendre certains exemples du monde de Disney, Pixar ou toute autre filiales de cette entreprise.
Le film Onward (2020)
Ce film met en scène un policier cyclope nommé Spector, exprimé par Lena Waithe. La sexualité du personnage n’est reconnue qu’en passant, quand Spectre dit: « Ce n’est pas facile d’être un nouveau parent – la fille de ma petite amie m’a fait m’arracher les cheveux, d’accord? » Spector est une lesbienne et ce film fut interdit dans plusieurs pays dans le monde.
Le court-métrage Out (2020)
Pixar a sorti un court métrage, « Out », sur Disney Plus, sur un homme homosexuel qui a du mal à sortir avec ses parents.
Le film Cruella (2021)
Le personnage d’Artie dans le film est ouvertement gay.
Star Wars (2018-2021)
Depuis les dernières années, Star Wars regorge de plus en plus de personnages LGBTQ+.
Orka et Flix dans Star Wars Resistance sont deux personnages ouvertement gays qui ne sont pas humains et sont en fait deux espèces différentes, mais qui sont ouvertement en couple dans la série.
Il y a eu d’autres représentations LGBTQ+ dans l’univers Star Wars, comme les scénaristes et l’acteur Donald Glover qui ont confirmé que Lando dans Solo : A Star Wars Story est pansexuel [2]. On peut également voir deux femmes, le commandant Larma D’Acy et Wrobie Tyce, s’embrasser dans Rise of Skywalker pendant un bref instant.
La série DuckTales (2017-2021)
Un personnage du nom de Violet, qui a été introduite plus tard dans la série, a deux papas, Indy et Ty Sabrewing, qui occupent une place importante dans la série bien qu’ils n’aient pas beaucoup de temps à l’écran. Ce sont des parents aimants qui s’intéressent profondément à leur fille et qui portent tous deux des chemises « I’m with dad ».
Jungle Cruise (2021)
Disney a été clair sur le fait que l’un des personnages majeurs du film, McGregor Houghton, sera gay.
Nous pourrions continuer avec plusieurs autres films sans compter ce qui est prévu dans l’univers Marvel des films et séries.
Il faut savoir que l’écriture est claire sur le sujet. Il y a deux et seulement deux genres : « Et Dieu créa l’homme à son image; il le créa à l’image de Dieu; il les créa mâle et femelle. » Gen. 1 : 27. « Et il leur répondit: N’avez-vous pas lu que Celui qui créa, au commencement, fit un homme et une femme; » Mat. 19 : 4. Les implications de cet enseignement doivent être soigneusement examinées. Premièrement, il y a deux sexes et deux genres correspondants, masculin et féminin. Deuxièmement, l’homme et la femme sont tous deux à l’image de Dieu. Si vous modifiez votre corps de manière à effacer votre sexe, vous entachez l’image de Dieu dans votre corps.
Dieu voulait protéger les limites de l’identité sexuelle, aussi, dans les lois qu’il a livrées à Israël, il a interdit le travestissement : « Une femme ne portera point un habit d’homme, et un homme ne se revêtira point d’un habit de femme; car quiconque fait ces choses, est en abomination à l’Éternel ton Dieu. » Deut. 22 : 5. Si le travestissement – le fait de s’habiller comme le sexe opposé – est une « abomination » et est strictement interdit, alors il est certain que l’automutilation (ou le fait d’autoriser des médecins à se mutiler) dans le but de faire ressembler son corps à celui du sexe opposé est interdit par voie de conséquence.
La plupart des gens sont conscients de l’interdiction par la Bible de l’activité sexuelle entre personnes de même sexe (Rom. 1 : 18-32 ; 1 Cor. 6 : 9-11 ; Gen. 19 : Jude 7 ; Lev. 18 : 22 ; 20 : 13), mais la Bible interdit également l’effémination masculine. (1 Cor. 6 : 9 KJV : « ni efféminés »). Le mot grec traduit par efféminé, malakos, signifie littéralement « doux », mais le concept évoqué est celui d’un homme qui se laisse utiliser par d’autres hommes – un catamite. Celui qui se rend « doux » – efféminé ou d’apparence féminine – dans le but d’attirer d’autres hommes viole ce passage. Ainsi, le transsexuel homme-femme qui modifie son corps dans le but d’attirer non pas le véritable homosexuel, mais plutôt l’homme attiré par la féminité, va directement à l’encontre de cette interdiction.
Il est intéressant de noter qu’un homme dont les testicules avaient été écrasés ou dont le pénis avait été coupé ne pouvait pas « entrer dans l’assemblée du Seigneur » (Deut. 23 : 1), ce qui signifie qu’il ne pouvait pas participer pleinement à la vie religieuse et politique d’Israël, certainement pas en tant que dirigeant. (Voir, également, Lév. 21 : 20). L’écrasement des testicules était parfois pratiqué lors de cérémonies cultuelles où l’eunuque était dédié à un ou des dieux païens. Mais il est clair que Dieu ne veut pas que, pour quelque raison que ce soit, nous désexualisions notre corps en excisant ou en détruisant les organes qui nous ont été attribués à la naissance.
« Les auteurs de l’Écriture considéraient comme odieuse toute tentative de changer le sexe de naissance, comme un sacrilège contre les structures de masculinité et de féminité créées par Dieu et, en fin de compte, comme une rébellion contre le Créateur qui a créé nos corps », explique Robert A. J. Gagnon, professeur associé de Nouveau Testament au Pittsburgh Theological Seminary. Dieu a créé deux sexes, et à la conception, chacun d’entre nous s’est vu attribuer un sexe, un miracle de la procréation qui renvoie à la création originale d’Adam et Eve en tant que mâle et femelle. Dieu veut que chaque homme grandisse dans sa masculinité et que chaque femme grandisse dans sa féminité. Les hommes chrétiens doivent se comporter et apparaître comme des hommes, et les femmes chrétiennes doivent se comporter et apparaître comme des femmes, car c’est ainsi que Dieu nous a créés, et c’est son plan pour nos vies.
[1] https://thenationaldesk.com/news/americas-news-now/disney-plans-to-help-its-employees-their-children-obtain-gender-affirming-procedures-reimagine-tomorrow-trans-transgender-lgbtq-gay
[2] https://www.vox.com/2018/5/29/17365958/lando-pansexual-controversy-star-wars-slash-fic-history