François est salué pour son pontificat « historique », qui a ouvert l’Église au monde comme aucun autre pape.

Le pontificat du pape François est qualifié d’historique parce qu’il a ouvert l’Église catholique au monde comme aucun autre pape ne l’avait fait auparavant. En mettant l’accent sur la foi commune, le culte eucharistique, le repos dominical, l’unité visible des Églises, la solidarité et l’inclusion, il a cherché à surmonter les divisions tant au sein de l’Église qu’entre les différentes traditions religieuses. Son encyclique Fratelli Tutti, qui appelle à une fraternité universelle dans laquelle le monde entier est rassemblé en un seul corps, est un document qui fait date dans cet effort. Plus que tout autre chef religieux vivant aujourd’hui, le pape François s’est efforcé d’unir les confessions chrétiennes et de favoriser les relations avec les autres religions, renforçant ainsi l’idée que tous les hommes, quelle que soit leur origine, sont frères et sœurs dans un témoignage partagé et une maison commune.

The Conversation, un organisme d’information universitaire indépendant, a publié ce qui suit le 24 février 2025 à propos de la papauté historique du pape François :

« Avant de devenir pape, il était Jorge Mario Bergoglio, archevêque de Buenos Aires, et a été la première personne originaire des Amériques à être élue à la papauté.

« Il a également été le premier pape à choisir François comme nom, honorant ainsi saint François d’Assise, un mystique du XIIIe siècle dont l’amour pour la nature et les pauvres a inspiré les catholiques et les non-catholiques.

« Les changements apportés par François à la papauté ne sont pas superficiels. Il a ouvert l’Église au monde extérieur comme aucun de ses prédécesseurs ne l’avait fait auparavant.

« Dans un acte sans précédent pour un pape, il a également lavé les pieds de non-chrétiens.

« Il a encouragé une attitude plus accueillante à l’égard des catholiques gays et lesbiennes et a invité les personnes transgenres à le rencontrer au Vatican.

« L’une de ces questions était liée à l’acceptation par François de la diversité religieuse. Dans un discours prononcé lors du septième congrès des dirigeants des religions mondiales et traditionnelles au Kazakhstan en 2022, il a déclaré que les membres des différentes religions du monde étaient “les enfants du même ciel.

« La papauté de François a été historique. Il a embrassé les marginaux comme aucun pape ne l’avait fait auparavant.

« Et c’est à son successeur qu’il revient de décider si ses réformes prendront racine. » (https://theconversation.com/francis-a-pope-who-has-cared-deeply-for-the-poor-and-opened-up-the-catholic-church-164362)

À mesure que nous nous rapprochons de la crise finale, le pouvoir et l’influence de la papauté continueront de croître, dépassant le cadre de l’Église catholique pour s’étendre à la politique mondiale, à l’économie et aux relations interconfessionnelles. Le pape François a embrassé le monde et a fait tout ce qu’il pouvait pour en faire une seule famille. C’est l’un des principaux éléments de la prophétie biblique qui doit s’accomplir de nos jours :

« 3 Toute la terre étant dans l’admiration, suivit la bête. […] 7 Et il lui fut donné puissance sur toute tribu, langue, et nation.Et tous ceux qui habitent sur la terre, dont les noms ne sont pas écrits dès la création du monde dans le livre de vie de l’Agneau qui a été immolé, l’adorèrent. » (Apocalypse 13:3, 7, 8)

« Parce qu’elle a abreuvé toutes les nations du vin de la fureur de son impudicité. » (Apocalypse 14:8)

« Car toutes les nations ont bu du vin de la fureur de sa fornication, et les rois de la terre se sont prostitués avec elle; et les marchands de la terre se sont enrichis de l’abondance de son luxe. » (Apocalypse 18:3)

« Et on les rassembla dans le lieu qui s’appelle en hébreu Armageddon (montagne de la déroute). » (Apocalypse 16:16)

« Ils ont un même dessein, et donneront leur puissance et leur autorité à la bête. » (Apocalypse 17:13)

« Et je vis la bête, et les rois de la terre et leurs armées, assemblées pour faire la guerre à celui qui était monté sur le cheval, et à son armée. » (Apocalypse 19:19)

À mesure que nous nous rapprochons de la crise finale, le pouvoir et l’influence de la papauté continueront de croître, dépassant le cadre de l’Église catholique pour s’étendre à la politique mondiale, à l’économie et aux relations interconfessionnelles. Le pape François a embrassé le monde et a fait tout ce qu’il pouvait pour en faire une seule famille. C’est l’un des principaux éléments de la prophétie biblique qui doit s’accomplir de nos jours.

Tout au long de l’histoire, le Vatican a fonctionné comme un système de pouvoir qui transcende un seul pape. Dans Apocalypse 13, la Bible identifie une puissance semblable à une bête qui cherche à unir le monde sous son autorité, et le Vatican, dirigé par des forces invisibles des ténèbres, continue de remplir ce rôle. Son influence ne repose pas sur un individu, tel que le pape François, mais plutôt sur un agenda dirigé par l’ordre des Jésuites et d’autres forces travaillant dans les coulisses pour façonner les événements mondiaux. Même lorsqu’un pape disparaît, un autre se lève pour poursuivre la mission, en veillant à ce que Rome fasse progresser ses intérêts et son influence sur les nations, les religions et les affaires mondiales.

La prophétie biblique indique clairement que ce système persistera jusqu’à la crise finale, trompant le monde avec une fausse unité et une fausse paix, conduisant finalement à l’application de politiques qui s’opposent à la loi de Dieu. Peu importe qui siège sur le trône papal, le Vatican remplira son rôle prophétique, tel qu’annoncé dans les Écritures, jusqu’à ce que le retour du Christ mette fin à son règne.

« Aussi Satan est-il déterminé à les englober en un seul corps. A cet effet, il les pousse dans les rangs du spiritisme. Les fidèles du pape, qui considèrent les miracles comme un signe caractéristique de la véritable Eglise, tomberont facilement dans les filets de ce pouvoir miraculeux, et les protestants, ayant abandonné le bouclier de la vérité, seront également séduits. Romanistes, protestants et mondains montreront le même empressement à accepter les formes d’une piété factice, et verront dans cette union un pas décisif vers la conversion du monde et l’aurore d’un millénium si longtemps attendu. » (La Tragédie des Siècles, p.638)

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